1. Une manière de vivre.

N’est pas franc-maçon qui veut, l’ordre exige un certain nombre de critères tels un casier judiciaire vierge, avoir atteint la majorité légale, pratiquer de bonnes moeurs, ... pour permettre l’accès aux loges.

L’apprenti se doit de respecter le code de vie des francs-maçons qui exige de "savoir poursuivre et intensifier l’effort fourni par tous ceux qui se sentent engagés dans la merveilleuse aventure du devenir humain contre toute atteinte à la dignité de l’homme, prendre conscience de la solidarité organique qui nous unit et sans laquelle les hommes ne sont que des fauves s’entre-déchirant" (extrait de Point de vue initiatique n°21, premier trimestre 1971). "La franc-maçonnerie n’est pas une doctrine mais une méthode de culture sur les idées et les moeurs.

Chez les francs-maçons, il existe une entraide et une grande solidarité entre ceux qui se reconnaissent pour frères.

La franc-maçonnerie exige le secret des rites, des symboles mais un franc-maçon peut donner connaissance de son appartenance, il ne peut pas dévoiler l’identité de l’un de ses frères.

Le tutoiement est de rigueur dans la loge, peu importe l’origine sociale ou la position hiérachique au sein de la loge.

Malgré cette qualité presque parfaite, la tradition veut que le grand maître et les grands officiers bénéficient de privilèges particuliers.

L’orateur est le seul officier à être indépendant du vénérable, il a le droit à la parole.

La franc-maçonnerie possède sa propre justice, chaque obédience possède un tribunal et des magistrats. Le tribunal est élu par les frères, il instruit les problèmes de la loge et les plaintes d’un maçon contre un autre maçon.

Les principes de cette justice sont simples, la sanction consiste à exclure le contrevenant aux règlements de l’obédience, de la loge.


{Travaux.}
Travaux.
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Sortie du Temple.